le consommateur aujourd’hui jouit d’un grand pouvoir de critiquer et contester comme il n’en a jamais eu auparavant. Comme le web augmente la visibilité des actions, un client mécontent, ou ayant d’autres motivations, peut fomenter un truc viral et le lancer sur le WEB SOCIAL pour faire potentiellement beaucoup de mal en infligeant une correction à une entreprise qu’il juge injustice. Les conséquences d’un tel acte peuvent retentir loin des frontières et faire pâtir les dirigeants des entreprises et les obliger à reconsidérer les décisions prises.
IL est plus que jamais facile de souiller la réputation d’une entreprise grâce à la facilité offerte par les réseaux sociaux . Les entreprises doivent s’en préoccuper et prendre conscience que les rapports de forces ont basculé en faveur du consommateur. de nos jours,Un simple Tweet peut apporter un coup fatal à une entreprise. Pour composer avec cette situation, des entreprises soucieuses de leur réputation qu’elles ont bâti depuis des années, se pressent de développer des politiques de gestion des risques pour préserver leur réputation Elle n’ont pas le choix que de faire une veille afin de sauver les meubles en intervenant rapidement.
L’enjeu est de surveiller constamment une tuile qui nous tombera un jour ou l’autre du ciel et juste faire en sorte qu’elle ne nous soit pas fatale.
L’exemple éloquent qui me vient à l’esprit c’est l’affaire : « les jus Oasis ». Un article de la Presse.ca qui relate les péripéties judiciaires de madame Kudzman propriétaire d’une petite entreprise qui a tenu tête au Géant Québecois producteur des jus Oasis et où les réseaux sociaux sont venus à la rescousse de cette bonne dame pour enfin faire fléchir les dirigeants de ce géant.Le fin mot de l’histoire et que Madame Kudzman a arraché un accord qu’elle qualifie de satisfaisant.
Moralité, les pots de terre peuvent maintenant briser les pots de fer.