BILAN DE L’ACTIVITÉ E

Dans cet essai qui conclut mon apprentissage du cours WEB SOCIAL,  j’ai préféré parlé de l’impact des réseaux sociaux   sur un  domaine qui concerne tout un chacun « la politique ». Mais qu’est la politique? Après plusieurs recherches j’ai retenu la définition  suivante  de ce  domaine. Wikipedia définit la politique comme une constitution qui concerne  l’organisation méthodique , théorique et pratique d’une communauté, d’une société ou d’un groupe social. Dans un sens plus restreint, c’est la lutte au pouvoir et à la représentativité  entre les hommes et les femmes. A cette définition, j’ajoute qu’une bonne politique c’est une pratique du pouvoir et la gestion de ces dites  luttes d’hommes et de femmes pour trouver un bon  équilibre social.

Selon les données statistiques les Blogues ont actuellement dépassé les médias traditionnels de par leur influence.  Outre les campagnes politiques classiques, les réseaux sociaux sont  de nos jours  utilisés pour permettre aux citoyens une  participation  active aux débats. C’est une grande tribune pour le citoyen   qui lui ouvre  plus de possibilités à son engagement citoyen. Avec ce mouvement de société , les gouvernements n’ont plus le choix que de suivre cette tendance et d’intégrer les réseaux sociaux dans leur plan stratégique  de communication pour tirer profit des bienfaisants de ces outils.  Les démocraties représentatives passent par une  grande crise de crédibilité et un fossé de plus en plus grand sépare les politiciens  du peuple qu’ils représentent. Pour redorer leur blason, les dirigeants tentent de jouer le jeu des réseaux sociaux en offrant un canal pour la participation en ligne. Marketing politique oblige, Les experts de la communication au niveau des gouvernements  ont compris l’ampleur de ce phénomène engendré par le WEB SOCIAL et ils ont mis le paquet pour  se racheter et rattraper le retard. Ce que le peuple veut dieu le veut. Dans un précédent  billet,  j’ai fait part de mon intime conviction qu’on  assiste à la naissance d’un cinquième pouvoir. Cette fois ci, ce pouvoir est entièrement entre les  mains des citoyens. Avec l’évolution des sociétés, des mœurs, des cultures et des mentalités, les démocraties par ces temps de crise ont démontré leurs limites quand à leur connectivité avec les peuples. Avec le WEB SOCIAL, le citoyen assouvit des  besoins sociaux : « gouverner », exprimer son mécontentement au point de créer une protestation ambiante. La fin justifie les moyens,  les réseaux sociaux sont actuellement le média le plus choyé des citoyens qui donne libre cours à leurs initiatives et idées.

Les blogueurs influents sont repérés par les pouvoirs et sont invités en grande pompe à la table des grands. Ce pouvoir insoupçonné des blogueurs à fédérer  les masses populaires a ouvert grands les yeux aux politiciens et les a dissuadé de  prendre le virage du WEB SOCIAL et  créer une identité institutionnelle en ligne. Au début, Les politiciens ont sous estimé la puissance de ces réseaux jusqu’au moment où ils ont réalisé la gravité monumentale de leur  erreur stratégique qui a failli leur coûter une perte du pouvoir. De ce bouillon populaire est né petit à petit un mouvement spontané qui avec le temps a su s’organiser et peser lourd dans l’échiquier politique.

Les sociétés modernes se politisent progressivement et le citoyen d’aujourd’hui n’est plus le citoyen d’hier. Selon Dominique Schnapper : « dans la société démocratique moderne le lien entre les hommes n’est plus religieux ou dynastique, il est politique. Vivre ensemble, ce n’est plus partager la même religion,être  sujets du même monarque ou être soumis à la même autorité, c’est être citoyens de la même organisation politique ». Cette définition résume la mutation sociologique qui converge vers une  implication grandissante des citoyens dans la vie politique. Le citoyen ne se contente plus de son rôle de contrôleur, il veut se hisser au rang de gouverneur.

Les structures de communication formelles  établies par les politiques avant l’avènement des réseaux sociaux sont devenues  archaïques aux yeux des citoyens, au point où ces derniers  se sont lassés de subir cette façon  de faire la politique. Comprendre  ce besoin de devenir citoyen politique  par les élus du  peuple est le seul moyen de garder ce mandat qui leur est donné et faire durer l’équilibre social. Tant et que l’innovation de la communication n’est pas réalisée, un divorce entre les politiciens  et la société sera inévitable.

A chacun son WEB SOCIAL, mais en politique, la participation politique se veut de garantir plus de transparence au citoyen . Prenons le cas de la réussite politique d’OBAMA pour les présidentielles de 2008. Son Slogan : »Yes we can » a trouvé appui  sur les réseaux sociaux pour faire parvenir le premier Afro-américain à la maison blanche.

les soldates de l’ombre :

L’équipe de campagne électorale de Barack Obama et à la tête de son  volet réseaux sociaux Chris Hughes qui n’est ni plus ni moins que  le co-fondateur de Facebook,  a  su exploité à bon escient et à fond le  WEB SOCIAL comme une vrai machine de guerre. Les conseillés de la communication Obama ont bâti une identité institutionnelle de leur candidat sur plus de quinze réseaux sociaux différents qui lui a servi  sans doute comme  vrai levier de notoriété. Cette présence sur les multiples plateformes sociales a permis au candidat Obama de toucher toutes les couches de la société.  Si ce n’est pas le premier jalon de l’utilisation des réseaux sociaux en politique, il est surement le meilleur exemple d’une première et remarquable exploitation   des réseaux sociaux à des fins politiques. Le recours d’Obama à cette stratégie signe le début d’un gouvernement moderne et réellement social. Des chiffres glanés ici et là indique que la stratégie inédite de la campagne d’Obama sur les réseaux sociaux a aboutit aux résultats suivants :

–  500 millions de dollars  collectés en ligne sous forme de dons.

–  5 millions de supporters Facebook.

–  2 millions de profils crées sur le site officiel de campagne.

–  120 millions de vues sur Youtube

–  572000 commentaires  postés sur le mur Facebook de Barack Obama.

–  400000 Posts recensés sur les blogs de campagne.

–  35000 groupes de volontaires créés.

On ne change pas une équipe qui gagne, Obama  veille toujours à entretenir sa e-réputation et  poursuit la consolidation de sa présence sur les réseaux sociaux. Obama ainsi que la « First Lady »  font  toujours l’actualité sur les réseaux sociaux.Un vrai savoir faire et une performance  constante dans l’art de communiquer .   On peut voir le président  Obama chantant du Blues dans la maison blanche,  Comme on peut voir une vidéo YouTube de Michelle Obama répondre  aux questions postées sur son compte Twitter.

Tendances de l’usage du WEB SOCIAL dans la politique:

Dans son ouvrage  « L’usage du web Social par les partis politiques au Québec »,  Thierry Giasson de l’Université Laval nous fait un tour d’horizon sur le résultats de plusieurs études réalisées au Québec et au Canada portant sur l’usage des réseaux sociaux par les politiciens du pays. Il ressort que la classe politique canadienne utilise ces réseaux beaucoup plus pour véhiculer de l’information vers les citoyens, que  pour  créer un espace de participation citoyenne  et de rétroaction. Le même constat est fait en France où La participation partisane  dans les réseaux  sociaux  tente  de rattraper le retard accumulé durant  les dernières années.

Contrairement  aux  américains qui   ont misé à juste  titre le tout pour le tout sur les réseaux sociaux , avec  leurs leaders  qui sont devenus des adeptes du WEB SOCIAL et qui entretiennent continuellement leur présence sur ces réseaux  , la tendance actuelle dans les autres pays développés est superficielle car elle se limite à  créer une identité  institutionnelle  sur plusieurs plateformes de  réseaux sociaux. A ce stade, malgré la puissance offerte par ces outils en matière de rétroaction, de participation et d’interaction, les politiciens se contentent d’y créer tout simplement du contenu et diffuser de l’information. C’est dire que leurs  portails WEB auraient suffit pour assurer cette présence. Actuellement, la tendance s’oriente  vers la forme plus qu’elle n’est pour le fond. L’idée par laquelle les réseaux sociaux sont ni mauvais ni bons perdurent chez la classe politique. L’engouement aux réseaux sociaux est un fait et une vérité immuable. Reste que la tendance  est plus prononcée au moment des grands rendez-vous électoraux.

Un autre article celui paru dans le  journal Le Monde que j’ai trouvé intéressant pose un diagnostic et une prospective sur le devenir des réseaux sociaux dans la vie politique. Je partage l’avis qu’il y a une plus grande prise de conscience des politiciens quant à la nécessité d’aller de l’avant et embrasser sans réserve ce mouvement social qui s’est enclenché par les citoyens et pour les citoyens grâce  aux réseaux sociaux. Un parti politique qui ne suit pas cette tendance s’expose inévitablement à un isolement  et une déconnexion  purement et simplement  de son peule.

Quel avenir pour les réseaux sociaux en politique ?

Est ce que les réseaux sociaux sont seulement un phénomène de mode, de la  poudre aux yeux ou est ce qu’ils sont tout simplement ancrés dans la société. Personnellement je défendrai la dernière hypothèse par laquelle le WEB SOCIAL est là pour durer. Tant que  l’envie  de s’exprimer, de faire entendre sa voix, de contester et tant  que   le  sentiment d’appartenance à une communauté sont des besoins sociaux chez les êtres humains, alors tous les moyens sont bons pour les assouvir . Quoi de mieux que les réseaux sociaux pour répondre à ces besoins? avec leurs  vertus incontestées telle que  l’instantanéité, leur accessibilité; les réseaux sociaux resteront des médias prisés par les citoyens et continueront à fédérer les foules et les communautés. Reste que la stratégie de communications des politiciens  à travers les réseaux sociaux doit être plus claire et à la hauteur des attentes populaires.

Les plateformes de réseaux sociaux sont jeunes, et pour la plupart elles ont moins de dix ans d’existence. Ce qui fait que les réseaux sociaux sont un concept  en devenir. Certains gouvernement ont cru sans réserve au potentiel de ces réseaux, d’autres sont restés réticents envers leur introduction dans leurs stratégies de communication. Les mentalités sont pour beaucoup dans ce choix. Les américains ne pensent pas comme les français, les français ne pensent pas comme les canadiens, les canadiens ne pensent pas comme les anglais…

Après avoir vaincu leur phobies et craintes, les européens comme les canadiens se sont rendus à l’évidence que les réseaux sociaux sont incontournables et se sont mis  à créer leur identité en ligne et soigner leur e-réputation pour rester à la page. Reste  qu’actuellement, cette présence ressemble plus à un monologue qu’à un espace de participation, d’échange et d’interaction. Contrairement aux américains qui excellent dans l’art de se « mettre à nu devant le citoyen », l’effort fourni par les autres pays reste timide.

Les politiciens ont certainement pris leur temps pour observer ce phénomène social, et commencent actuellement à l’adopter chacun à son rythme. Fort heureusement, et au risque de voir passer le train, les politiciens sont  conscients  qu’il ne faut pas rater ce rendez vous crucial avec ce mouvement qui n’est rien d’autre qu’une envie des citoyens d’aujourd’hui  de faire autrement la politique.

Les réseaux sociaux sont des espaces virtuels,  et il existe un risque qu’ avec le temps notre fascination pour ces réseaux  s’estompe. La pérennité  de l’utilisation des réseaux sociaux dans la vie politique dépendra du degré d’interaction et de  participation qui sera offert aux citoyens. Donner ou pas  le sentiment au simple citoyen de participer et de gouverner et le facteur dont dépendra la tendance à court et à moyen terme. L’exemple Obama en politique participative a fixé un standard d’utilisation  des  réseaux sociaux. Ce dernier  a pu grâce  aux réseaux sociaux  animer les foules, les fédérer, leur miroiter un rêve commun et surtout donner à chacun l’impression  de participer à sa propre  campagne électorale. La finalité était de  séduire pour vaincre ses adversaires.

Comme je l’ai évoqué précédemment, les américains  qui sont leaders en réseaux sociaux politiques semblent  avoir fait le choix citoyen de recourir à ce type de média pour réagir et participer. L’étude suivante affiche clairement une tendance à venir. Les réseaux sociaux suscitent  un tel niveau d’intéressement  chez les américains qu’ils vont continuer   à fédérer et rassembler  des citoyens au fil du temps. A mon avis ce n’est pas là la révolution WEB SOCIAL politique, mais une première expérience en banc d’essai, qui va donner naissance à une vraie révolution au niveau planétaire.

Les facteurs qui vont déclencher cette révolution:

l’arrivée au pouvoir de la génération Y, sera un tournant décisif pour le WEB SOCIAL politique. Dans peu de temps, le pouvoir politique passera entièrement  entre les mains de la génération Y; très branchée et très connectée. Cette génération qui a grandi avec la révolution internet manifeste d’autres besoins et d’autres attentes. Avec l’épanouissement technologique et culturel de cette génération, la démocratie représentative sera de  plus en plus mise à  mal vu le fossé qui séparera le politicien du citoyen insatisfait. Le Web social sera le meilleur moyen   pour contrer cette structure archaïque du pouvoir et   définir une autre manière de faire de la politique en rapprochant le monde virtuel des réseaux sociaux de celui du monde réel des institutions.

Ce qui s’est passé dans les pays arabes ces deux dernières années n’est qu’un exemple de la colère d’une  génération branchée qui a vibré anarchiquement  sur les réseaux sociaux pour enfin se fédérer et former un mouvement politique chassant ainsi tous les régimes stériles qui étaient en place. cette génération a réussi ce qui n’était même pas  venu à l’esprit de la génération précédente.

Ce bouleversement inattendu dans ces pays  a sonné le glas à une relation politique « gouverneurs-gouvernés » qui  a été réfutée par la génération Y. A chaque fois qu’une chute de régime s’opère le prochain pensait que ça n’arrivera qu’aux autres. Je n’aborderai pas ici les motivations de ces mouvement mais je me contente de parler de sa vitesses, sa précision, son aboutissement et du poids qu’il a pris grâce au réseaux sociaux. Moralité de ces évènements : Les politiciens ont bien appris  la leçon, et qu’il vaut mieux avoir le citoyen comme ami sur les réseaux sociaux que comme ennemi.

Les sociologues continuent à débattre de la question de l’effet culturel et politique du Web Social  sur les peuples les années à venir. Certains pensent que l’exploitation des réseaux sociaux dans tous les domaines de la vie n’a pas atteint ses limites. Force est de constater que les réseaux sociaux numériques sont de plus en plus populaires. Cette popularité va en grandissant et qu’ils ne sont plus un phénomène de mode mais plutôt un canal de communication planétaire incontournable. Une utilisation  conviviale et interactive, une inscription simple et à la portée de tous font que les réseaux sociaux connaissent et connaitront certainement une progression fulgurante et auront toujours  le vent en poupe.

Mais quand les réseaux sociaux politiques atteindront-ils  le paroxysme de leur essor? la réponse à cette question  dépend évidemment du rythme avec lequel les politiciens se résigneront à faire du citoyen un politicien actif, participatif  et non pas un simple internaute passif comme il est aujourd’hui. L’usage dont feront les politiciens du WEB SOCIAL changera à jamais la relation entre les citoyens et les  politiciens. Si le web social est sous  utilisé aujourd’hui et ne sert pratiquement qu’à  générer du contenu par les politiciens, le web social de demain sera inévitablement un terrain d’interaction et de participation citoyenne, faute de quoi les votes de sanction envers les politiciens moins engagés  et qui négligent  ce volet sera un moyen démocratique entre les mains de la futur génération pour les écarter et les réduire comme une peau de chagrin et ce avant même d’arriver aux urnes. Une représentativité « réelle » ne suffira plus à elle seule pour contenter les masses populaires, qui exigeront de plus en plus une représentativité « virtuelle » de leurs leaders sur les réseaux sociaux.

Personnellement, je peux prédire que  Le bouleversement sera tel que le résultat d’une élection quelque soit sa portée, municipale, régionale, ou nationale sera connu d’avance juste en sondant les réseaux sociaux. N’est ce pas là un merveilleux outils qui place la barre haut aux politiciens et  les  pousse  à se donner davantage dans leurs missions et inventer une autre façon de faire la politique? Qui vivra verra  et l’avenir nous le dira.

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Bilan de l’activité B

1- les composantes de mon initiative :

La fondation du logiciel libre FSF  est une idée audacieuse qui a pu rassembler autour d’elle une communauté très active et très productive. le terme libre ne veut pas dire forcément Gratuit mais réfère plutôt à la possibilité d’acquerir des logiciels sur lesquels on peut opérer les modifications que l’on souhaite sans faire une entorse quelconque aux droits d’auteur ou une atteinte à la propriété intellectuelle de son producteur.

Personnellement j’ai ouvert mes yeux au  même moment où les adeptes de ce mouvement faisaient sa promotion et j’ai grandi avec lui.

Émerveillé  par cette idée ingénieuse d’un grand Hacker et par ses objectifs,  j’ai toujours manifesté une grande admiration envers son fondateur Richard Stallman, « le gourou barbue » comme on aime l’appeler qui a entamé avec bravoure ce  long pèlerinage le 04 octobre 1984.

Les composantes de mon initiatives étaient  de créer une identité sur les réseaux sociaux populaires, une promotion pour gagner en réputation et enfin  créer du contenu et surtout participer. Voici un résumé des composantes qui s’articulent sur trois volets : l’idée, les outils et de la stratégie pour se faire une place sur le WEB  :

  • Un compte personnel sur Google+ : benchabimed@gmail.com

Une recherche  portant sur les  stratégies utilisées par les grands blogueurs  expliquées ici et là sur le Net m’a éclairé un tant soit peu sur la manière  d’exploiter les réseaux sociaux pour se « faire un nom ».

2- Les activités menées :

J’ai commencé par la création d’une page  WEB grâce  au site WORDPRESS.COM. Cette page de ralliement était un concentrateur multilingue  d’informations concernant ce sujet, qui offrait à ces visiteurs de l’actualité entourant  ce sujet.

En quête de découvrir toute les facettes du site WordPress.com, j’ai pu me familiariser avec son  module  JetPack . Son outil  « Stats », convivial et puissant nous offre la possibilité de suivre les statistiques de notre page et de mesurer notre degré de participation. « Publicize » Un autre outil remarquable nous  offre également la possibilité de nous connecter automatiquement à une grande panoplie de réseaux sociaux pour partager nos publications avec nos « Followers ». Ce qui  a pour effet d’attirer l’attention en continu sur notre site.

Une fois la page créée, journellement pendant   deux semaines (du 22/avril 2013 au 05mai 2013 ), j’ai effectué une recherche de groupe engagés dans  cette même cause. Dans la même foulé le moteur de recherche Twitter avec des critères de recherche tels que : »Free software » et « logiciel libre » m’a permis de trouver des associations et des groupes intéressants avec un grand potentiel d’abonnés. Je n’ai pas hésité à « titiller » ces groupe en envoyant à leur endroit des demande d’abonnement et des « Tweets » de lien à ma page. Cette démarche  a bien payé car en un mois, 174 « followers » suivent ma page sur Twitter actuellement.

Pareillement sur Facebook, une inscription à  « Causes » m’a permis de rechercher des initiatives similaire à la mienne. Des demandes d’adhésion ont été envoyées, et certaines d’entre elles ont eu un répondant favorable. Je suis actuellement membre de 05 associations qui militent pour cette cause qui sont :

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dans Netvibes, sous la rubrique Perso, j’ai introduit exprès un fil de mon compte Twitter pour servir de référent à ma page.

3- Analyse des statistiques :

En un mois le site a enregistré 352 visites. Le record d’audience a été atteint le mardi 30 avril. Les référents à mon site étaient principalement FaceBook et Twitter. Il n’empêche que Netvibes et le groupe INF 6107 sur DIIGO ont permis de référer certaine connexions entrantes à ma page. Sans oublier les visites faites à partir des moteurs de recherche.

Je remarque que la fréquentation journalière évolue en dents de scie. Je  pense que cette évolution est normale pour une initiative vieille d’un mois seulement. Les pics coïncident avec la période où j’avais entrepris au début de cette activité des démarches très actives pour entrer en contact avec d’autres internautes. La taux de fréquentation est proportionnel à l’activité et à l’engagement constant.

Statistiques de la  fréquentation journalière :

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On remarque que la fréquentation est significative durant les Week-end car mes mises à jour sont faites durant ces deux jours et elles sont notifiées instantanément aux membres qui me suivent. c’est ce qui explique cette tendance haussière contrairement aux autres jours de la semaine.

 

Statistiques des référents à mon site:

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Le principal référent était Twitter car j’ai pu attirer l’attention de 174 Followers qui suivent actuellement mon site. A chaque mise à jour l’outil « Publicize » de WordPress avertit la communauté, et la réaction des membre se traduit par une visite de la page.

 

 

Statistiques des Followers de mon site :

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Statistiques des visites par pays :

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Je peux dire que cette initiative a déjoué les frontière compte tenu de la diversité des  origines des visiteurs. Quoique le record des visiteurs de ma page est détenu par les internautes canadiens.

 

 

 

 

4- Principaux facteurs qui ont aidé ou nuit à mon initiative:

Actuellement, une  interopérabilité entre ces différents outils des plateformes, rend la gestion de notre présence sur les médias sociaux plus automatisée et plus efficace. On a l’impression d’être abonné à une seule plateforme de réseaux sociaux, ce qui augmente considérablement notre visibilité et notre productivité. D’autre part, mon attitude agressive  dès le début pour entrer en contact avec les différents groupe est pour beaucoup dans les statistiques de fréquentation.

Ce qui a nuit à mon initiative est d’une part le facteur temps. Il est clair que la réputation se  forge à long terme et elle est proportionnelle au rythme de  notre activité. D’autre part, en étant un novice des réseaux  sociaux, je n’ai pas pu bénéficier au préalable d’un bassin d’amis qui aurait pu d’emblée faire la promotion de mon initiative.

En conclusion, c’est en forgeant qu’on devient forgerons, et les plus belles performances sont celles qui durent.

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Toute peine mérite salaire

La communauté virtuelle est le fondement du WEB SOCIAL. La démocratisation  des moyens de communication rend la participation de chacun plus facile que jamais. Si le cœur vous dis ça ne vous prendra que quelque minutes pour créer votre identité en ligne et faire partie de cette gigantesque expérience planétaire qu’est le WEB SOCIAL. Quand on est au bal il faut danser. Mais pour participer il ne suffit pas de créer du contenu, il faut être actif .C’est d’ailleurs ce que ce que nous relate succinctement Valerie Dandivare du journal le Métro.

Une fois cette culture de participation acquise,  le Web Social vous rendra ce que vous avez donné . En Quête de la reconnaissance de la communauté pour l’effort fourni, vous éprouverez certainement une satisfaction personnelle. Une recherche sur le WEB, nous  fait découvrir avec une grande stupeur, des histoires aussi surprenantes les unes que les autres  de certaines personnes qui ont excellé  dans l’ art de prêcher pour  cette culture participative sur le WEB. Le  résultat serait de passer d’une  participation minimale à une participation active.

Le fin mot de l’histoire,si jamais vous le faite, faite le tout simplement  avec amour. C’est pour cette raison qu’au moment où certain font leur beurre, beaucoup auront les mains dans le beurre.

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Matthew Inman un artiste hacker

Les hackers d’antan ceux qui n’ont pas connu la révolution Internet  nous envieraient aujourd’hui pour cette invention grâce à laquelle l’expression le monde est devenu un village prend tout son sens.

Matthew Inman, ce jeune  prodige très influent a réussi coup de maitre    en récoltant auprès de ses « Followers » près d’un million de dollars en un temps record pour bâtir un musée à la mémoire célèbre scientifique Nikola Tesla  sur les vestiges de sa « Wardenclyffe Tower ».

Propulsé par sa passion à son idole, l’attitude Hacker de ce jeune Blogueur    a pris le dessus  pour immortaliser  une des  plus belle   histoire  de  participation sur le WEB. Une belle histoire vaut mieux qu’un long discours, moi personnellement Je saisi là, la dimension de L’éthique de ces  « Alchimistes des temps modernes ».

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La e-réputation ça se paye

Le marché nait  d’un besoin non ou mal comblé manifesté par des consommateurs. La menace qui plane sur la vulnérabilité de la réputation  d’une entreprise est à l’origine de la création d’agence de gestion de la e-réputation. Le monde est ainsi fait Le malheur des uns fait le bonheur des autres. certaine entreprise l’intègre carrément dans leur processus de gestion de la clientèle.

Une investigation de ma part pour voir comment évolue ce marché ainsi que le niveau de la demande enregistrée m’a permis de constater que ce marché est fleurissant.l’identité institutionnelle est de mise, et les entreprises n’ont plus le choix que de faire   appel à l’impartition de ce volet en transigeant avec ces entreprises expertes.

Si je crois cet   expert de la firme DIGIMIND,  ce marché a progressé de 70% en 2011 pour atteindre le chiffre de 180 Millions de dollars en    France et le chiffre de 1,8 milliards de dollars dans le monde.

Moi personnellement je valide ces chiffres eu égard au phénomène de frénésie qui s’est emparé des entreprises qui  veulent vaille que vaille avoir une identité institutionnelle en ligne et la promouvoir.

Ce marché a le vent en poupe, et ceux qui surfent sur cette vague gagneront certainement gros.

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La e-tuile sur la tête des entreprises

le consommateur aujourd’hui jouit d’un grand pouvoir de critiquer et contester comme il n’en a jamais eu   auparavant. Comme le web augmente la visibilité des actions, un client mécontent, ou ayant d’autres motivations, peut fomenter un truc viral et le lancer sur le WEB SOCIAL  pour  faire potentiellement beaucoup de mal en  infligeant une correction à une entreprise qu’il juge  injustice. Les conséquences d’un tel acte   peuvent retentir loin des frontières et faire pâtir les dirigeants des entreprises et les obliger à reconsidérer les décisions prises.

IL est plus que jamais facile de  souiller la réputation d’une entreprise grâce à la facilité offerte par les réseaux sociaux . Les entreprises doivent s’en préoccuper et prendre conscience que les rapports de forces ont basculé en faveur du consommateur.   de nos jours,Un simple  Tweet  peut apporter un coup fatal à une entreprise. Pour composer avec cette situation, des entreprises soucieuses de leur réputation qu’elles ont  bâti depuis des années, se pressent de  développer  des politiques de gestion des risques pour préserver leur réputation Elle n’ont pas le choix que de faire une veille afin de sauver les meubles  en intervenant rapidement.

L’enjeu  est de surveiller constamment une tuile  qui nous tombera un jour ou l’autre  du ciel et juste  faire en sorte qu’elle ne nous soit pas fatale.

L’exemple éloquent qui me vient à l’esprit c’est l’affaire : « les jus Oasis ». Un article de la Presse.ca qui relate les péripéties judiciaires  de madame Kudzman propriétaire d’une petite entreprise qui a tenu tête  au Géant Québecois producteur des jus Oasis et où les réseaux sociaux sont venus à la rescousse  de cette bonne dame pour enfin faire fléchir les dirigeants de ce géant.Le fin mot de l’histoire  et que Madame Kudzman  a arraché un accord qu’elle qualifie de satisfaisant.

Moralité, les pots de terre peuvent maintenant briser les pots de fer.

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Démocratie représentative ou directe?

Abraham Lincoln a défini la démocratie comme : »Le gouvernement  du peuple par le  peuple  et  pour le peuple ». Cette   définition magistrale est reprise de nos jours pour parler de ce mode de gouvernement.

Les balbutiements de la démocratie sont nés chez les Grecs de l’antiquité. A l’époque  chaque citoyen d’Athènes avait son mot à dire et on parla alors de démocratie directe où chaque individu représentait  sa personne et en personne dans l’ Ecclesia.

Malgré les bienfaisants de la démocratie représentative où le peuple élit ses représentants pour légiférer ce qu’ils pensent être bon pour lui, certains penseurs détracteurs  de ce moyen lui reproche de relayer le citoyen au rang de contrôleur et non de gouverneur. Dans les vraies  démocratie, le peuple peut évincer ceux à qui il a délégué le pouvoir de le représenter, mais cela ne se passe toujours pas sans perte et fracas. Avec les moyens technologiques de communications  d’aujourd’hui, ne peut-on pas imaginer une version moderne,électronique et virtuelle   de l’Ecclesia, où chaque citoyen civique prendra la responsabilité de s’impliquer personnellement dans les décisions critiques au lieu de subir un abus de pouvoir. L’Ecclesia renaitra t-elle de ces cendres?   Vous me dirait une utopie, je rétorquerai, les rêves sont permis.

 

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Le monde est-il deveneu fou?

Il me semble et c’est du moins un avis personnel, le monde a toujours était fou, malade et son dessus dessous. Il nous parait en lisant les journaux ou à travers les différent médias que le monde  devient de plus en plus cruel et instable. Mais avec du recul, la réalité est tout autre. On oublie que l’homme a livré 3000 guerres durant les trois millénaires passés.

L’histoire le dira et cela est écrit, qu’à toute les époques les hommes se sont entretués au nom de la religion. Le problème c’est que chacun de, nous musulmans, chrétiens, indous… prétend être sur la bonne religion. Comme le commun des mortels ne peut pas demander au  bon dieu de se montrer  et trancher cette question, les humains arrivent à régler ce différend à coups d’épée.

Chacun présume être le peuple élu de dieu, et que ceux qui ne sont pas sur cette croyance sont des hommes qui errent. De tous les temps, l’ego religieux a poussé les hommes a s’entretuer, à s’exiler et a même provoqué des exodes massives de population.

L’ego c’est ça,  on se croit tous supérieurs les uns que les autres  et on  tend à rapetisser l’autre. Mais la logique  veut que quelque soit notre mouvance si on se croit haut et vraiment appartenant à un peuple élu on n’a pas besoin de le démontrer.

Le jour où chacun de nous prendra conscience de ces propres folies à ce moment là nous chercherons tous  un remède pour les dompter au lieu de dompter nos semblables.Viendras t-il le jour  où le monde deviendra sain, où la sagesse l’emportera  sur l’égo? Il me semble que ce qui est inné demeurera  inné, et qu’au moins  toutes les religions défendent le dogme  selon lequel dieu sait ce qu’il fait.

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Notre planète a chaud

Le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du  climat (GEIC) crée par L’ONU chargé de faire de façon objective et méthodique  une synthèse des études scientifiques sur la question du réchauffement global de notre planète, a aboutit à la conclusion que ce phénomène est dû à une émission excessive des gaz à effet de serre d’origine anthropique.

Les conséquences sont très visibles : fonte surprenante de la banquise arctique et antarctique, recul  des glaciers, élévation du niveau des mers, hausse des températures saisonnières…Si aujourd’hui la communauté scientifique est divisée sur l’estimation  de la  hausse des températures   les années à venir, ils sont unanimes pour dire  qu’elle est inéluctable.

A ce rythme, le monde court à sa perte, et nous légueront à nos enfant un héritage empoisonné. Personne ne veut y mettre du sien pour freiner ce suicide collectif . Les pays en voie de développement impute cette situation aux pays développés  , et ne veulent pas entendre parler de limiter leurs émissions  pour les années à venir au risque de ralentir leur croissance. Pour eux, les pollueurs d’hier doivent être  les seuls payeurs aujourd’hui. Les pays développés quant à eux n’admettront jamais ralentir au moment où les autres carburent. Il s’avère que  nous sommes des mauvais locataires de cette  magnifique   terre qui  sans doute respirera mieux sans nous.

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Corrupteurs et corruptibles

La corruption  semble être plus profonde qu’il n’y parait au QUÉBEC. Le système de collusion mis à nu par la commission Charbonneau nous dévoile des stratagèmes bien huilés pour déjouer les systèmes de contrôle.

Mais ce qui est surprenant c’est que corrupteurs et corrompus des temps modernes ont brisé le clicher qu’on avait des individus qui prennent part dans ces délits. A Québec la corruption a atteint tous les strates: les ingénieurs,les avocats,les maires, les directeurs d’administrations, les politiques et j’en passe,  forment maintenant le nouveau visage des malfrats. A croire que de nos jours personne n’est digne de confiance .

la compréhension de ce phénomène passe certainement par l’analyse  de plusieurs facteurs dont ceux  sociaux- économiques . Mais à mon sens corruption et mal gouvernance vont de paire et elle sont étroitement liées donc  une certaine  relation de causalité les unit.  L’attitude préventive versus l’attitude corruptive est le meilleur moyen d’étouffer ce fléau dans son berceau avant sa métastase au conséquence oh combien désastreuse dans une société.

Comme le dit le vieux adage: entre la tentation et l’action il y a place au respect.

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la faim dans le monde

l’organisation  des nations unis pour l’alimentation et l’agriculture FAO  publie un chiffre effroyable de mal-nourris dans  le monde. Ce chiffre serait de plus de 800 millions !!! CA donne vraiment  froid dans le dos  quand j’apprends qu’au canada chaque ménage  jette en moyenne  500$ de nourriture dans les poubelles par année.

Source: FAO

Voila, le constat est amère. les poubelles mangent à leur faim au moment  où chaque  06 secondes  un enfant dans le monde meurt de faim. Vous imaginer un peu, mourir car on n’a pas trouvé un grain de riz ou une miette de pain à se  mettre sous la dent.

Si chacun des 05 milliards restant, mangeait une bouchée de moins par repas, cela représenterait une collation à nos frère et arrêterait cette honteuse hécatombe. J’invite ceux qui n’ont pas connu la faim à jeuner pendant seulement deux jours ininterrompus  pour sentir l’horreur de cette privation. Je n’ai pas retenu le nom d’un  invité de la chaine RDI, mais je lui emprunte  une expression qu’il   a prononcé à juste titre et  qui éveille les  simples d’esprits : « un enfant qui meurt de faim est un enfant assassiné ».

Chaque bouchée que je prends maintenant me donne à réfléchir à la manière de faire parvenir ne serait-ce qu’une seule à un innocent avant  qu’il ne rende l’âme.

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Classement des réseaux sociaux

Après une lecture du panorama des différentes plateformes sociales, je ne pouvais pas me retenir de  chercher à savoir davantage sur le classement de cette  tripotée de différents médias numériques en fonction de la fréquentation enregistrée.

Je suis tombé sur une étude réalisée et publiée  par l’institut de recherche eMarketer,  spécialisé dans l’étude des tendances des médias sociaux.

Statistiques de fréquentation des réseaux sociaux selon eMarketer

                 Sans grande surprise, Facebook arrive en tête et reste   bien assis sur le trône des médias sociaux. Avec ses 1.1 milliards de visiteurs Facebook totalise un taux de 51% des internautes qui s’aventurent sur la toile.

Ce qui m’a surpris, c’est que Twitter et  malgré le battage médiatique dont il jouit , ne vient qu’en quatrième position après Google+.

Ma curiosité m’a poussé à savoir plus sur  le réseaux Sina Weibo dont je ne soupçonnais même pas l’existence et  qui a raflé le pourcentage de 21% selon cette étude. J’ai compris que ce réseau chinois qui est un site  de micro blogging bénéficie d’un facteur  démographique ainsi que des pratiques anticoncurrentielles mises en place par le régime en place . Ce qui fait de lui un réseaux à fréquentation  géographiquement concentrée.

Il s’avère qu’une flopée de réseaux chinois sont bien évidents  dans cette étude, et devancent des réseaux tels que linkedin et Printerest qui sont à la traine.

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les réseaux sociaux numériques

Le concept des réseaux sociaux numériques  est au sommet de l’ordre du jour des dirigeants d’entreprises. Bon nombre d’ouvrages de spécialistes   ont été consacrés à la question de classification et à l’usage stratégique de ces mode de diffusion en ligne. Les réseaux  sociaux évoluent et leur classification est constamment  revisitée . Une classification est  esquissée chaque année  par le spécialiste  Fred Cavazza et la dernière en date remonte à 2011. De prime à bord, on constate que cette classification se base sur la fonctionnalité des différents réseaux  sociaux existants. Selon cette classification appuyée par un schéma, chacun de ces réseaux  peut être catalogué dans l’une des dix  catégories suivantes :

 

    Image classification des réseaux sociaux numériques  selon Cavazza – 2011

                    Une autre classification faite cette fois ci dans une optique de rentabilité économique et pour répondre à la perpétuelle question posée par les  dirigeants d’entreprises quant à la meilleur façon d’exploiter ces médias, est celle de Kaplan & Haenlein parue dans un article publié en 2010 dans la revue Business Horizons. les réseaux sociaux cette fois ci sont classés en six catégories:

  • Les projets collaboratifs
  • Les Blogs
  • Les communautés  de contenu
  • Les mondes  virtuels des jeux
  • Les sites des réseaux sociaux
  • Les mondes sociaux virtuels

Vous l’aurez compris, toutes ces classification éphémères rendent compte de l’évolution de la diversité des acteurs. La rentabilité commerciale est de mise chez les annonceurs, qui sont confrontés à une fragmentation de l’audience, et tentent continuellement de  cerner ce vrac de médias en ligne pour tirer un meilleur profit.

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l’influent se laissera t-il influencer?

               Cet article que j’ai trouvé grâce à notre ami à tous Google,  montre sans équivoque que de nos jours  la sphere politique s’intéresse aux blogueurs. Mais pourquoi s’intéresse  t-on à ces ‘journalistes citoyens des temps modernes‘ comme certains aiment les appeler ? Vous me direz Marketing politique oblige.

                C’est indéniable, Les blogueurs ont pris de l’assurance. Après qu’ils se soient hissés au rang de prescripteurs, les institutions les reconnaissent comme commentateurs de la vie publique. Je dirai même qu’ils ont décidé de nouer le dialogue avec eux.

                La frontière entre le journalise et le blogueur devenu de plus en plus flou, les blogueurs  se font inviter en grande pompe et au même titre que les journalistesà la table des grands décideurs de  cette planète. Oui le blogueur est un faiseur d’oignon sur la place publique numérique. Stratégiquement parlant, il faut composer avec lui, lui faire les yeux doux, redorer son blason… Bref, en politique, la fin justifie le moyen.

                  Avec une inflation exponentielle des blogs, les institutions ont même mis en place des cellules de veille de blogs pour scruter à la loupe les blogs les plus lus, les plus reconnus et donc les plus influents.

Simple veille informationnelle ou une vraie crainte des blogs qui s’installe chez les institutions? les Blogs n’ont pas fini de faire  parler d’eux, seule l’histoire nous le dira.

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Où est passé le censeur ?

English: La Censure (Censorship) as portrayed ...

               Internet, de par sa conception n’appartient à personne et le web social appartient à tous. Ces deux états de fait sont la raison pour laquelle le web social est devenu une tribune incontournable au débat public, un vecteur pour unir les aspirations et pourquoi pas engager d’énormes bouleversements insoupçonnés.

             Je me permets dans ce contexte de reprendre la citation du célèbre Lavoisier pour dire que grâce au web social ‘ rien ne se perd tout se relaye’. Le laboratoire WEB SOCIAL confirme bien cette théorie pour ce qui est des particules d’information produites par les millions d’internautes indépendants.

            Voyons donc ce qui s’est passé durant ce printemps arabes enclenché par des peuples en quête de démocratie. Les médias de masse nationaux étant les marionnettes des pouvoirs autoritaires en place dans ces pays, ces peuples et avec les moyens de bord se sont rués vers un support qui appartenait à tous, les réseaux sociaux sur internet pour produire et relayer avec spontanéité de l’information véridique.

             Garantir la libre circulation de l’information était sans doute gagner une première manche contre les pouvoirs qui l’ont brimé en pratiquant de la censure à outrance. Aux yeux des experts, ce phénomène n’est pas passé inaperçu et ils ont nul doute chercher à l’expliquer et mesurer son impact.

            Moi je dis tout simplement qu’on assiste à la naissance d’un cinquième pouvoir : le WEB SOCIAL.
         

           Nous ne pouvons que nous enorgueillir de cette quantité et qualité d’information mise à la disposition de tout un chacun, réglons maintenant le problème de ce qu’il faut lire.

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Où s’arrête ta liberté?

                Voila, la TELUQ a fait de nous des éditeurs. Oui nous avons le statut  d’éditeur une fois que notre Blog électronique prend naissance sur le web. A ce  titre nous avons des droits et des devoirs.

                Ce qui importe le plus est que  nul n’est censé ignoré la loi, et qu’il existe des lignes rouges à ne pas franchir sous peine d’être un hors la loi. Le blog c’est vraiment la place publique où tout est  visible et tout est audible.  Toute injure, diffamation, apologie, provocation, incitation, propos injurieux ou dénigrant, toute atteinte aux droits et aux propriétés intellectuelles  trouveront un lecteur. 

                Il faut garder en tête que notre ami Internet à qui nous confions nos petits secrets,  a lui aussi des milliards d’amis de par le monde. On est loin du carnet personnel qu’on rangeait  tranquillement  à son chevet  avant de dormir. Le blog est considéré personnel dans le sens  où  on est  personnellement  responsable de son contenu, et même du contenu déposé par les tiers. Faites gaffe ; écrivez tout bas ce que vous pensez tout haut.

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Le blog, Eldorado ou simple passe temps?

Le blog est un moyen de partager sa vie, ses connaissances, ses aventures et ses découvertes. Un passe temps pour les uns, ne vitrine de son activité pour les autres. Certains blogueurs  sont devenus si influents qu’ils sont courtisés par les grandes marques. On assiste actuellement à une mutation de la blogosphère. De nos jours on blogue pro. Ceux qui durent dans le temps, visent la qualité du contenu. Ils  cherchent  à humaniser un tant soit peu les échanges, la communication entre les blogueurs. L’Eldorado inattendu : créer un grand  réseau de lecteurs  mais  qui soient très complices. Avec les outils offerts pour simplifier la création  et l’entretien d’un blog tout le monde et même les  novices ont sauté les pieds joints dans cette aventure, c’est devenu  un  vrai jeu à la portée  de tout le monde.  Ce plaisir  de publier son carnet peut devenir une activité, et le blog peut rapporter de l’argent. Ils existent de nos jours des chasseurs de blogs influents dont la mission est de repérer et identifier les blogs très visibles sur la toile. Il est indéniable que le business fait une place privilégiée aux blogs intéressants. Allez-vous trouver votre Eldorado? À vous de voire. …

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